Franca Maï
Jean-Pôl et la môme caoutchouc de Franca Maï Le Cherche-Midi, 119 p., 11 €.
Marine de Tilly.
jeudi 19 février 2009
F. Maï, dans Le Figaro, 11/03
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Il est des lectures dont on ne sort pas indemne. Bouleversé, choqué, révolté ou ému, quand la fiction donne de si belles leçons à la plus insensée des réalités humaines, le lecteur n’a plus le choix. Il est conquis. Jean-Pôl, jeune quarteron hanté par la figure de la mère, n’est qu’un soldat de plomb dans une guerre anonyme. Il aime une femme violée à tout va par des hommes dénués de toute humanité, fleur d’Asie réduite en pot-pourri. Dans cet ouvrage qui prend à la gorge, Franca Maï célèbre les femmes, seules détentrices de tous les secrets. Offertes, matrices, victimes ou vecteur de plaisirs et d’harmonie, elles ont rarement été si bien observées, mortes ou vives.
Presse écrite:
"Fort bien documenté, le livre de Marine de Tilly explore cette danse sensuelle et périlleuse entre l'homme et le taureau de combat. Pas à pas, elle observe la chorégraphie de ce ballet hypnotique aux couleurs tragiquement flamboyantes : héroïsme et érotisme du torero, respect et amour de la bête, exigence et ambiguïté du public. Revisitant l'histoire - des premiers combats sanguinaires du Moyen Age à l'élégance et la magie des corridas orchestrées par un Joselito ou un Belmonte -, elle rappelle que de nombreux artistes (Picasso, Hemingway, Cocteau, García Lorca...), fascinés par ce spectacle, participèrent à son triomphe comme « art, pensée et élément fédérateur de l'Espagne contemporaine ». A glisser entre toutes les mains, aficionados confirmés ou esprits curieux."
Isabelle Courty, Le Figaro Magazine
"Qu'ils soient ici prévenus : les anticorridas, ces normalisateurs tristes qui voudraient s'opposer à la Feria de Nîmes, devront d'abord passer sur le corps de la jeune Marine de Tilly. Qui, à 27 ans, pourtant ni fille d'éleveur ni femme de torero, ni même d'Espagne, publie un très beau livre, humble et plein de feu, docte et gracieux, où elle fait part, coeur ouvert, de son amour pour cet art majeur, pour l'orgie de sons et de couleurs qui s'en dégagent et la puissance de sa grammaire... Son livre est une réussite parce qu'il évite le piège du livre de spécialiste, les chichis de l' afición. Parce qu' il dynamite,aussi, l' air de rien, de nombreuses contre-vérités : tradition de droite,la corrida? Ecoutons Sartre: la corrida s'adresse à la meilleure part de vous-mêmes, à la plus sèche, la plus libre, celle qui ne veut ni mélancolie ni ritournelle. Duel inégal,la corrida? Faux problème : L' animal doit mourir,l' homme ne doit pas mourir. Telle est la loi suprême, énonce Francis Wolff . Certes, il peut arriver , exceptionnellement , que dans une corrida un homme meure ou qu' un animal ne meure pas . Mais le principe est une chose, l'accident, une autre"
Christophe Ono-dit-Biot, Le Point
"C'est un joli brin de fille, d'origine normande, habitant au coeur de Paris, critique littéraire de surcroit, ex-redactrice en chef de l'emission Chez FOG sur France 5... et fondue de tauromachie. Marine de Tilly affiche sans complexe son premier ouvrage, une promenade litteraire réussie, instructive et depaysante".
Agathe Westendorp, La Provence
"Corridas est son premier ouvrage. Elle y développe un plaidoyer sur l'art de la corrida et y dépeint le monde de la tauromachie avec beaucoup de sensibilité"
Bernard Christin France Bleu Mayenne
"Un ouvrage qui tente de percer les mystères de cette passion"
Michèle Caron France Bleu Isère
"Le livre est bien écrit, construit, documenté, il a le mérite de la sincérité dans le point de vue et de ne pas être un brûlot provocateur."
Luc Monge, La Savoie
"L'oeuvre de Marine de Tilly nous donne une vision différente sur le monde de la corrida, une danse élégante, brutale et érotique qui fait une partie intégrante de la tradition espagnole"
Stéphane Bern, France Inter, Le Fou du roi
"Ce livre tente d'incarner la corrida, de lui donner chair, et de faire découvrir ou redécouvrir aussi, "l'ardeur et la sincérité qu'il y a derrière cette rencontre entre l'homme et le taureau de combat". Un admirable livre d'or et de sang, "sombra y sol", que parcourt un souffle épique."
Robert-Yves Quiriconi AP
"Ce livre est un voyage au coeur du mythe arrogant et sensuel de "l'aficion", où "l'art de tuer" se fait art de vivre."
Toreria.fr
"Heureusement que de jolies perles comme ce livre continueront d'éclore au milieu d'un banc toujours plus important d'huitres vides."
Blog de Gilles Cohen-Solal
"Si les "aficionados" n'ont aucun compte à rendre à leurs censeurs, Marine de Tilly se démarque d'eux par la distance qu'elle met entre elle et un objet d'amour façonné par la soif d'apprendre, l'humilité et l'attention extrême portée au sublime face-à-face entre la bête en fureur, survivance du minotaure, et le maestro luminescent à la dimension sacramentale et sacrificielle ."
Renée Mourgues, La république des Pyrénées
"Ce livre tente d'incarner la corrida, de lui donner chair, et de faire découvrir ou redécouvrir aussi "l'ardeur et la sincérité qu'il y a derrière cette rencontre entre l'homme et le taureau de combat". Un admirable livre d'or et de sang, "sombra y sol", que parcourt un souffle épique."
Le nouvel Obs.com
"Flamboyante défense et illustration de la corrida!"
La Vie Economique
"Il s'agit de son premier livre:un piquant chant d'amour, surtout, à l'art qu'elle adore et pour lequel elle a su trouver la bonne musique."
La Liberté
"Un essai réussi. L'auteure, jeune journaliste, critique littéraire et historienne transmet son aficion pour cet art à part : la corrida. Tout est passé en revue, l'histoire, la vie des toreros, la naissance de la corrida moderne, les liens entre corrida et peinture (Goya, Picasso...), corrida et littérature, poésie (Garcia Lorca, Hemingway...), corrida et musique (Carmen), sans oublier celui quasi-sacré entre corrida et chrétienté : historique et houleux, et que l'on retrouve jusque dans l'apparat ! Lire cet ouvrage passionnant que l'on soit antis, novices et voir meme initiés c'est prendre une belle leçon d'histoire."
L'outil culturel
Patit Bonus:
Juste pour le plaisir, et parce qu'il serait malhonnête de taire ces voix (souvent brillantes) qui n'ont pas beaucoup aimé le livre, voici une petite compilation, non exhaustive...., des commentaires issus de blogs, d'associations anti ou des pages "avis de lecteurs" des sites marchands (Amazon, Fnac...). Je vous les livre "tels quels", défenseurs de la langue ou de l'orthographe, s'abstenir:
"quel horeur!!!
Je te souhaite finir comme eux! poignardée par un gros conard habillé comme un débile!!te vider de ton sang pendant de heures tandis que les gens gueulent comme de porcs on se moquant de toi! là juste avant de t'éteindre tu va peut être te rendre compte de ce qui est souffrance pauvre cruche va!" (Source: La Fnac)
sale pute
"commen on peut dir ke la corida c bien ? la corrida c ke mettr a mor des povre bete ki non rien demander .. me toi ds le cor de la bete et imagine !! di toi ke t a sa place , di toi ke c toi ki doi te faire tuer a la fin du comba , tu c ske je di pour les torero ki en son mort " bien fait pour leur gueule , i fallai pa essayé de tuer des povre bete, el son pa fait pour sa !!! l'etre humain es une ereur de la natur ell fe tro de mal otour dell !!" (Source: La Fnac)
"Passer sur le corps de cette personne ? Pourquoi pas, si c'est pour dire combien les arguments des "amoureux" de la corrida sont scandaleusement hypocrites. J'aimerais en particulier savoir qui a dicté (quel dieu ou quel pouvoir) la loi suprême qui voue les taureaux à la mort sous les cris d'une foule qui a soif tout autant de coca-cola que de sang. Pour ma part, je ne crois pas que la corrida soit un crime contre l'humanité, mais qu'elle est un spectacle d'une cruauté aussi extravagante que gratuite. Les hommes s'honoreraient en ne faisant pas de la mort gratuite d'un animal un spectacle aux motivations plus que troubles." (Source: Le Point. En réaction au papier de C. Ono dit Biot)
Extrait de la lettre (papier) de Danielle Drucker:
"Je vous retourne votre livre "de sang" que ni mon mari ni moi ne voulons voir chez nous".
"Marine de Tilly a beaucoup reçu de la vie : beauté, facilité intellectuelle mais elle souffre d’un grave handicap : l’absence de compassion.Verbiage, musique, costumes, parade, rituel… c'est ce qu'il faut ajouter à l'abjecte corrida pour la rendre acceptable, respectacle et en masquer la cruauté. Nous lutterons le temps qu’il faudra pour qu’elle disparaisse" (Source: Site du CRAC, Comité radicalement anti corrida)
"Les seules observations de Marine de Tilly sufissent pour désavouer la tauromachie de façon définitive. Jolie mélange d'aliénation mentale, de stupidité pathétique et de mauvaise foi flagrante...." (Source: Site du CRAC)
"Elle est vraiment completement cinglée cette Marine De Tilly ! Ces arguments pour la corrida sont ridicules ! "taureau demi-dieu", "le héros c'est le taureau"... Ah, quelle gloire pour le taureau, quelle chance il a !!! On lui a demandé son avis au taureau ?" (Source: Stop Animal Genocid)
"Bonjour,Je viens de lire le "face à face" Thierry Hely et Marine de Tilly, par VSD.Je suis à 200 % anti corrida, et j'ai trouvé les arguments de M. hély pas très toniques ! Il y a tellement d'arguments "chocs" contre la corrida ! A faire de jolies phrases, il a oublié les mots pour dire dans quelles conditions le taureau arrive dans l'arène (après sa "préparation"!), de quelle manière les bandérilles sont plantées là où elles le font précisément atrocement souffrir, etc... sans oublier le fait que les arènes sont financées par l'argent du contribuable...DeTilly a jeté des propos plus aptes à séduire les personnes qui ne savent pas ce qu'endure l'animal... Elle va jusqu'à prétendre que "le taureau sécrète une hormone pendant le combat, la béta morphine, quil'anesthésie et il continue à charger inlassablement"!!! (pfffftt ! il vaut mieux entendre ça que d'être sourd, n'est-ce pas ??). T.Hely aurait pu profiter de la brèche ouverte sur la souffrance de l'animal pour s'y engouffrer !! Mais non...Face aux pro-corrida et à leur force agressive, les anti ont fait, à mon avis, figure de poids plume...Faut pas s'étonner si le "non" de VSD l'emporte !Je laisse le droit de réponse aux anti-corrida uniquement ou les sceptiques, éventuellement, car non informés. Mais lisez bien les propos de T. Hely avant de me contrer.Les autres, les "pro", sont priés instamment d'aller se faire f....." (Source: 30 millions d'amis)
"Hallucinant de voir les (sinistres) clowns type Marine de Tilly s'accrocher à leur tradition archaïque et sanguinaire (inventée dans les abattoirs espagnols au Moyen-Age!), et venir la ramener en plus, avec les énormités habituelles... Marine de Tilly qui prétends entre autres inepties que les opposants sont "incapables de dépasser la souffrance" et de "s'élever" (faciler quand ce n'est pas sa propre souffrance n'est-ce pas)! En tout cas, quelle tête à claque cette M. de Tilly (pour qui la corrida est "comme une drogue" ) (Source: Blog anti corrida)
Pour plus d'informations, vous pouvez aller consulter le site de Gilles Paris et mon (très efficace) service de presse: http://www.gillesparis.com/marine_de_tilly.html#3
Qui êtes-vous ?
- Marine de Tilly
- Critique littéraire au Figaro de 2002 à 2004, chroniqueuse à "Vol de Nuit" (TF1) en 2004 et "Place au Livre" (LCI) en 2005/2006, rédactrice en chef adjointe de "Chez F.O.G" (France 5) en 2006/2007, je collabore aujourd'hui aux services Culture du Point et de Transfuge, en free-lance. J'interviens par ailleurs regulièrement à l'IPJ (Institut Pratique de journalisme de Paris)où j'anime des sessions sur "La pige" et "La critique". J'ai publié un essai en avril 2008 (Corridas, de sang et d'or, Ed. du Rocher), et travaille actuellement un premier roman.
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Revue de Presse pour Corridas, de sang et d'or
Presse écrite:
"Fort bien documenté, le livre de Marine de Tilly explore cette danse sensuelle et périlleuse entre l'homme et le taureau de combat. Pas à pas, elle observe la chorégraphie de ce ballet hypnotique aux couleurs tragiquement flamboyantes : héroïsme et érotisme du torero, respect et amour de la bête, exigence et ambiguïté du public. Revisitant l'histoire - des premiers combats sanguinaires du Moyen Age à l'élégance et la magie des corridas orchestrées par un Joselito ou un Belmonte -, elle rappelle que de nombreux artistes (Picasso, Hemingway, Cocteau, García Lorca...), fascinés par ce spectacle, participèrent à son triomphe comme « art, pensée et élément fédérateur de l'Espagne contemporaine ». A glisser entre toutes les mains, aficionados confirmés ou esprits curieux."
Isabelle Courty, Le Figaro Magazine
"Qu'ils soient ici prévenus : les anticorridas, ces normalisateurs tristes qui voudraient s'opposer à la Feria de Nîmes, devront d'abord passer sur le corps de la jeune Marine de Tilly. Qui, à 27 ans, pourtant ni fille d'éleveur ni femme de torero, ni même d'Espagne, publie un très beau livre, humble et plein de feu, docte et gracieux, où elle fait part, coeur ouvert, de son amour pour cet art majeur, pour l'orgie de sons et de couleurs qui s'en dégagent et la puissance de sa grammaire... Son livre est une réussite parce qu'il évite le piège du livre de spécialiste, les chichis de l' afición. Parce qu' il dynamite,aussi, l' air de rien, de nombreuses contre-vérités : tradition de droite,la corrida? Ecoutons Sartre: la corrida s'adresse à la meilleure part de vous-mêmes, à la plus sèche, la plus libre, celle qui ne veut ni mélancolie ni ritournelle. Duel inégal,la corrida? Faux problème : L' animal doit mourir,l' homme ne doit pas mourir. Telle est la loi suprême, énonce Francis Wolff . Certes, il peut arriver , exceptionnellement , que dans une corrida un homme meure ou qu' un animal ne meure pas . Mais le principe est une chose, l'accident, une autre"
Christophe Ono-dit-Biot, Le Point
"C'est un joli brin de fille, d'origine normande, habitant au coeur de Paris, critique littéraire de surcroit, ex-redactrice en chef de l'emission Chez FOG sur France 5... et fondue de tauromachie. Marine de Tilly affiche sans complexe son premier ouvrage, une promenade litteraire réussie, instructive et depaysante".
Agathe Westendorp, La Provence
"Corridas est son premier ouvrage. Elle y développe un plaidoyer sur l'art de la corrida et y dépeint le monde de la tauromachie avec beaucoup de sensibilité"
Bernard Christin France Bleu Mayenne
"Un ouvrage qui tente de percer les mystères de cette passion"
Michèle Caron France Bleu Isère
"Le livre est bien écrit, construit, documenté, il a le mérite de la sincérité dans le point de vue et de ne pas être un brûlot provocateur."
Luc Monge, La Savoie
"L'oeuvre de Marine de Tilly nous donne une vision différente sur le monde de la corrida, une danse élégante, brutale et érotique qui fait une partie intégrante de la tradition espagnole"
Stéphane Bern, France Inter, Le Fou du roi
"Ce livre tente d'incarner la corrida, de lui donner chair, et de faire découvrir ou redécouvrir aussi, "l'ardeur et la sincérité qu'il y a derrière cette rencontre entre l'homme et le taureau de combat". Un admirable livre d'or et de sang, "sombra y sol", que parcourt un souffle épique."
Robert-Yves Quiriconi AP
"Ce livre est un voyage au coeur du mythe arrogant et sensuel de "l'aficion", où "l'art de tuer" se fait art de vivre."
Toreria.fr
"Heureusement que de jolies perles comme ce livre continueront d'éclore au milieu d'un banc toujours plus important d'huitres vides."
Blog de Gilles Cohen-Solal
"Si les "aficionados" n'ont aucun compte à rendre à leurs censeurs, Marine de Tilly se démarque d'eux par la distance qu'elle met entre elle et un objet d'amour façonné par la soif d'apprendre, l'humilité et l'attention extrême portée au sublime face-à-face entre la bête en fureur, survivance du minotaure, et le maestro luminescent à la dimension sacramentale et sacrificielle ."
Renée Mourgues, La république des Pyrénées
"Ce livre tente d'incarner la corrida, de lui donner chair, et de faire découvrir ou redécouvrir aussi "l'ardeur et la sincérité qu'il y a derrière cette rencontre entre l'homme et le taureau de combat". Un admirable livre d'or et de sang, "sombra y sol", que parcourt un souffle épique."
Le nouvel Obs.com
"Flamboyante défense et illustration de la corrida!"
La Vie Economique
"Il s'agit de son premier livre:un piquant chant d'amour, surtout, à l'art qu'elle adore et pour lequel elle a su trouver la bonne musique."
La Liberté
"Un essai réussi. L'auteure, jeune journaliste, critique littéraire et historienne transmet son aficion pour cet art à part : la corrida. Tout est passé en revue, l'histoire, la vie des toreros, la naissance de la corrida moderne, les liens entre corrida et peinture (Goya, Picasso...), corrida et littérature, poésie (Garcia Lorca, Hemingway...), corrida et musique (Carmen), sans oublier celui quasi-sacré entre corrida et chrétienté : historique et houleux, et que l'on retrouve jusque dans l'apparat ! Lire cet ouvrage passionnant que l'on soit antis, novices et voir meme initiés c'est prendre une belle leçon d'histoire."
L'outil culturel
Patit Bonus:
Juste pour le plaisir, et parce qu'il serait malhonnête de taire ces voix (souvent brillantes) qui n'ont pas beaucoup aimé le livre, voici une petite compilation, non exhaustive...., des commentaires issus de blogs, d'associations anti ou des pages "avis de lecteurs" des sites marchands (Amazon, Fnac...). Je vous les livre "tels quels", défenseurs de la langue ou de l'orthographe, s'abstenir:
"quel horeur!!!
Je te souhaite finir comme eux! poignardée par un gros conard habillé comme un débile!!te vider de ton sang pendant de heures tandis que les gens gueulent comme de porcs on se moquant de toi! là juste avant de t'éteindre tu va peut être te rendre compte de ce qui est souffrance pauvre cruche va!" (Source: La Fnac)
sale pute
"commen on peut dir ke la corida c bien ? la corrida c ke mettr a mor des povre bete ki non rien demander .. me toi ds le cor de la bete et imagine !! di toi ke t a sa place , di toi ke c toi ki doi te faire tuer a la fin du comba , tu c ske je di pour les torero ki en son mort " bien fait pour leur gueule , i fallai pa essayé de tuer des povre bete, el son pa fait pour sa !!! l'etre humain es une ereur de la natur ell fe tro de mal otour dell !!" (Source: La Fnac)
"Passer sur le corps de cette personne ? Pourquoi pas, si c'est pour dire combien les arguments des "amoureux" de la corrida sont scandaleusement hypocrites. J'aimerais en particulier savoir qui a dicté (quel dieu ou quel pouvoir) la loi suprême qui voue les taureaux à la mort sous les cris d'une foule qui a soif tout autant de coca-cola que de sang. Pour ma part, je ne crois pas que la corrida soit un crime contre l'humanité, mais qu'elle est un spectacle d'une cruauté aussi extravagante que gratuite. Les hommes s'honoreraient en ne faisant pas de la mort gratuite d'un animal un spectacle aux motivations plus que troubles." (Source: Le Point. En réaction au papier de C. Ono dit Biot)
Extrait de la lettre (papier) de Danielle Drucker:
"Je vous retourne votre livre "de sang" que ni mon mari ni moi ne voulons voir chez nous".
"Marine de Tilly a beaucoup reçu de la vie : beauté, facilité intellectuelle mais elle souffre d’un grave handicap : l’absence de compassion.Verbiage, musique, costumes, parade, rituel… c'est ce qu'il faut ajouter à l'abjecte corrida pour la rendre acceptable, respectacle et en masquer la cruauté. Nous lutterons le temps qu’il faudra pour qu’elle disparaisse" (Source: Site du CRAC, Comité radicalement anti corrida)
"Les seules observations de Marine de Tilly sufissent pour désavouer la tauromachie de façon définitive. Jolie mélange d'aliénation mentale, de stupidité pathétique et de mauvaise foi flagrante...." (Source: Site du CRAC)
"Elle est vraiment completement cinglée cette Marine De Tilly ! Ces arguments pour la corrida sont ridicules ! "taureau demi-dieu", "le héros c'est le taureau"... Ah, quelle gloire pour le taureau, quelle chance il a !!! On lui a demandé son avis au taureau ?" (Source: Stop Animal Genocid)
"Bonjour,Je viens de lire le "face à face" Thierry Hely et Marine de Tilly, par VSD.Je suis à 200 % anti corrida, et j'ai trouvé les arguments de M. hély pas très toniques ! Il y a tellement d'arguments "chocs" contre la corrida ! A faire de jolies phrases, il a oublié les mots pour dire dans quelles conditions le taureau arrive dans l'arène (après sa "préparation"!), de quelle manière les bandérilles sont plantées là où elles le font précisément atrocement souffrir, etc... sans oublier le fait que les arènes sont financées par l'argent du contribuable...DeTilly a jeté des propos plus aptes à séduire les personnes qui ne savent pas ce qu'endure l'animal... Elle va jusqu'à prétendre que "le taureau sécrète une hormone pendant le combat, la béta morphine, quil'anesthésie et il continue à charger inlassablement"!!! (pfffftt ! il vaut mieux entendre ça que d'être sourd, n'est-ce pas ??). T.Hely aurait pu profiter de la brèche ouverte sur la souffrance de l'animal pour s'y engouffrer !! Mais non...Face aux pro-corrida et à leur force agressive, les anti ont fait, à mon avis, figure de poids plume...Faut pas s'étonner si le "non" de VSD l'emporte !Je laisse le droit de réponse aux anti-corrida uniquement ou les sceptiques, éventuellement, car non informés. Mais lisez bien les propos de T. Hely avant de me contrer.Les autres, les "pro", sont priés instamment d'aller se faire f....." (Source: 30 millions d'amis)
"Hallucinant de voir les (sinistres) clowns type Marine de Tilly s'accrocher à leur tradition archaïque et sanguinaire (inventée dans les abattoirs espagnols au Moyen-Age!), et venir la ramener en plus, avec les énormités habituelles... Marine de Tilly qui prétends entre autres inepties que les opposants sont "incapables de dépasser la souffrance" et de "s'élever" (faciler quand ce n'est pas sa propre souffrance n'est-ce pas)! En tout cas, quelle tête à claque cette M. de Tilly (pour qui la corrida est "comme une drogue" ) (Source: Blog anti corrida)
Pour plus d'informations, vous pouvez aller consulter le site de Gilles Paris et mon (très efficace) service de presse: http://www.gillesparis.com/marine_de_tilly.html#3
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